La consommation évolue profondément en restauration, et La Revue du vin de France le souligne dans sa dernière parution : les sommeliers élargissent leur carte pour intégrer davantage de boissons sans alcool, répondant ainsi à une demande croissante et à de nouvelles attentes clients.
Le vin désalcoolisé s’impose aujourd’hui pour accompagner une expérience gastronomique complète. Sa présence accrue en restauration illustre une transformation réelle du marché, portée par des consommateurs en quête de choix plus variés, plus responsables et plus adaptés aux nouveaux modes de vie.
Dans cet article, Fabrice SOMMIER, Meilleur Ouvrier de France et président de l’Union de la Sommellerie Française, valorise le rôle du sans alcool dans la profession :
« Les cuvées Chavin sont parmi les meilleures. Le vin désalcoolisé fait désormais partie du métier de sommelier. Il faut compenser la déconsommation et déployer une offre supplémentaire. Le sommelier est aussi là pour faire gagner de l’argent au patron. J’entends les critiques, mais les principes économiques doivent être respectés. »
Cette prise de position met en lumière le rôle clé des sommeliers, qui doivent aujourd’hui composer des cartes plus diversifiées tout en maintenant un niveau d’exigence élevé.
Depuis plus de quinze ans, CHAVIN développe des cuvées désalcoolisées reconnues pour leur qualité, leur finesse aromatique et leur savoir-faire français. Cette reconnaissance dans la RVF s’inscrit dans la continuité de notre engagement pour offrir des expériences gustatives. Nous remercions chaleureusement La Revue du vin de France et Thierry Masclot pour cet éclairage sur une tendance qui façonne l’avenir de la gastronomie.
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